bouquins

Bon, j'ai rien trouvé avec rechercher...

Voilà le topo. A force de chercher, j'ai fini par trouver des personnes acceptant de tester le JdR. Un problème se pose à moi.

J'ai décidé de faire simple pour ne pas les dégouter par des règles trop complexes. J'ai donc pris un jeu que tout le monde connait et basé sur des choses également connues : AD&D. Oui, je sais, c'pas le meilleur jeu qui soit, mais pour débuter, c'est ce qu'il nous faut.

Le problème se pose ainsi : on a décidé d'acheter les bouquins de base en commun. Quels sont ces bouquins de base (on veut juste le strict minimum pour démarrer)? Et tant qu'à y être, si l'un de vous a une idée du prix total pour lequel on en aura, merci du renseignement.^^


Voili voilou. De quels livres on a besoin, et pour combien on en aura?

Merci d'avance.

Il en faudra trois au minimum :
le livre du maitre, le livre du joueur et le livre des monstres.
A 40€ du bouquin...

* Tu peux trouver ces livres sur ebay...
* Autre piste, autre genre aussi pour débuter : l'Appel de Chtulhu !
Les années 20... les enquêtes... la folie, l'horreur, Nyarlathothep et compagnie !

L'Appel? Pour débuter?

Je crains que les enquêtes et l'intellectualisme ne soient pas de mise pour commencer. Généralement, c'est plus la baston qui intéresse les néophytes. Après on mettra en place des scénarii plus complexes. Mais pour le début, je pense faire du bourrinisme achevé.^^

Mais au sinon, l'Appel est effectivement infiniment plus intéressant.^^

Je double-post, mais je voudrais être sûr qu'un meujeu passe dans le coin.


Voilà. Grosso modo, c'est la première fois que je vais jouer en tant que meujeu. J'ai bien assimilé les règles et pense être en mesure de me débrouiller. J'ai crée un scénario crédible, bien articulé; j'ai placé des objets pas trop puissants mais assez alléchants pour les inciter à jouer etc etc.

En fait, je me retoruve face à un seul problème pour lequel j'aurais besoin de conseils : l'équilibre de la difficulté. En tant que PJ, je ne m'étais jamais rendu compte de la difficulté à équilibrer une partie. J'avançais en résolvant les énigmes et en massacrant les ennemis. La question se résume ainsi : comment, quand on est meujeu, on fait pour ne pas rendre la succession de combats trop difficiles.

Je crains en fait des trop peu de monstres trop faibles, ou trop de monstres trop forts. il est à préciser que ce sera une équipe de 4 joueurs, je pense. Je pense aussi qu'on se débrouillera pour avoir une équipe équilibrée (guerrier et voleurs sont déjà trouvés. Je ne sais pas pour le reste)

Voilà. Si vous avez des trucs pour évaluer la difficulté, des astuces qu'on peut adapter EN COURS de jeu ou quoi que ce soit d'autres, je suis preneur.

Merci d'avance.^^

Déjà, la difficulté dépend de l'efficacité du groupe et du hasard. Et ces facteurs étant très variables, je pense que tu ne peux décemment pas dire "il y aura un groupe de tant de monstres ici, puis là..."... En fonction de la facilité des joueurs, il te faudra ajouter ou retirer des monstres en milieu de partie en restant cohérent.

Par exemple, tu fais un donjon de gobelins. Tu leur envoies une escouade de patrouille de 3 gobelins... Elle se fait littéralement massacrer... Les joueurs n'ont rien perdu. Pour la suite, tu as prévu des groupes de 3 ou 2 gobelins. Il est clair que si tu n'as rien de plus alléchant, genre un bon gobelour, il faudra que tu modifie ça pendant la partie. A l'inverse, si tes 3 gobelins ont montré aux aventuriers que vivre, c'est aussi mourir (), là faudra voir à retirer quelques assauts, car ce qui est très dur dans DnD pour un joueur, c'est de recevoir des assauts de monstres nombreux et répétés.

Donc le hasard peut te faire faire des jets de merde ou des jets de fous, mais si tu as pleins de monstre y'aura bien un moment où même un petit gobelin va se transformer en killer à coup de critiques... Alors que ton unique gobelour n'aura pas eu de chances...

Donc voilà, la difficulté réside en la force des monstres, mais surtout dans leur nombre. Si tu ne places qu'un monstre niveau 8, c'est pas une victoire garantie, même contre des niveaux 1, parce que si tu fais que des échecs... Les chances sont minces, mais elles le sont encore plus minces avec une douzaine de monstres niveaux 1 qui arrivent d'un coup...

Donc voilà, éviter l'armée de monstres, toujours évaluer la difficulté de sa quête en cours de partie...

Et dernière chose, dans l'efficacité du groupe, il faut faire attention à son hétérogénéité. En effet, un groupe de 4 magos sera très peu efficace, comparé à un groupe avec un tank (guerrier ou barbare), 1 attaquants (rôdeur ou mage), un roublard (pour les pièges, les serrures...) et un soigneur (prêtre, druide...).

Et comme tu peux t'en douter, tu n'as pas beaucoup d'interêt à mettre des pièges s'il n'y a pas de roublard, ou alors en mettre 1 comme ça pour le dire "y'a des pièges dans les donjons, faut penser à se multi-classer roublard les gars..."

Voilà, j'espère avoir su t'aider...

Arf. C'est la conclusion à laquelle j'étais parvenu. J'espérais que vous pourriez me donner d'autres atouts que le "improvise, tu peux pas faire autrement".

Bon, soit. On va se débrouiller.^^

Merci bien.

Oui, y'a pas le choix, au moins pour la première partie. Après, quand tu connaîtras bien le groupe, tu pourras faire des aventures qui se rapprocheront de leur niveau, et tu auras moins à improviser. Mais les jets de dés sont trop aléatoires pour que tu puisses ne pas improviser.

D'ailleurs, ça n'a pas de rapport avec la difficulté des donjons, mais, à mes débuts, j'avais essayé d'écrire même les dialogues, mais si tu le fais, laisse tomber... Par contre je trouve assez efficace d'écrire la description des lieux, car l'inspiration ne vient pas forcément en cours de partie...

Là où j'ai un gros avantage, c'est que le scénario est tiré d'une des très nombreuses histoires que j'ai commencé à écrire sans jamais les terminer. Ce qui fait que j'ai une histoire assez courte pour être scénarisée, ce qui n'aurait pas été le cas si j'étais arrivé au bout de mes romans.^^

J'ai donc une vision parfaitement claire des lieux à décrire. Et si besoin est, les descriptions sont déjà écrites depuis plusieurs années.^^

Coucou me revoilou.

Bon, je plante le décor. On en est déjà à quelques parties maintenant. Par choix, j'ai eu la main lourde sur les XP et les objets magiques (je serai moins cool pour leurs futurs personnages).

Maintenant, je me retrouve face au principe des classes de prestige. Je m'explique.

L'un de mes personnages (un roublard) est arrivé au niveau 8 et remplit les conditions nécessaires pour devenir assassin. Ma question est, est-ce que le personnage peut faire roublard10/assassin10 ou bien peut-il faire roublard20/assassinX.

Je me pose la question parce que si j'amène le roublard au nv 20, je passe dans le domaine du personnage épique. Or, en ce cas, les bonus deviennent limités à chaque montée de niveau (quelques pv supplémentaires, un ou deux dons et quelques points de compétence). Mais ne serait-ce que le 1er niveau d'assassin fournit bien plus d'avantages.

Donc, si je fais un roublard 20 qui prend son 1er niveau d'assasin, que dois-je prendre en compte? Le domaine épique ou simplement considérer les bonus liés au niveau d'assassin qu'il vient de gagner (largement plus avantageux que ceux liés à un niveau épique)?

Valà, j'espère être assez clair.^^

a priori c'est simple, pour les truc qui augmentent plus après les niveaux épiques, tu les ignores, que ce soit dans une classe normale ou de prestige, et le reste augmente comme indiqué dans la classe.
En gros, quand il arrive à un NPE 20, quelque soit la répartition (quoi que je me demande si on tient compte des éventuels ajustements de niveau, mais comme tu dois pas en avoir c'est pas grave), que ça soit 19/1 ou 13/7 ou encore 7/7/6, lors des augmentations suivantes, tout marche normalement sauf ce qui est précisé comme n'augmentant plus aux niveaux épiques (au passage, utiliser les tables des classes épiques si le joueur dépasse le niveau 20 dans une classe de base).
J'espère que c'est assez clair.

Corrigez moi si je me plante.

Nan ça me va. On va faire comme ça.