Chroniques !

Chroniques de PFSM999 et CORRECTION KARISTA !!

Chronique n°1
Les races "errantes !!"
Chapitre XVII : Les Zorlims

Définition d'après le livre des nains !!

Les Zorlims sont avant tout des guerriers redoutables, ayant tous une des deux caractéristiques : Le feu ou La Glace.
Les Zorlims étaient des démons, de feux ou de glaces, mais certains démons décidèrent de quitter le monde des ténèbres pour leur bien-aimée, dans le monde des humains !!
Les Zorlims ont souvent été chassés, par les prêtres humains et les membres des Eglises Fanatiques, considéré comme des instruments de Satan et du mal !!
Pourtant, ce temps était le temps des batailles entres les hommes et les orcs qui envahissaient les grandes plaines et les grandes villes, humaines, naines et Elfique !!
Les Zorlims proposèrent leurs services aux rois et comme en temps de guerres, tout service était accepté, Les Zorlims tuèrent pour le compte des armées alliées !!
Une légende raconte que les Zorlims étaient les seuls guerriers dans des capuches noires, combattant mais jamais en se dévoilant !!
Les Zorlims furent traités en héros pendant plusieurs décennies, mais le temps passa et les Zorlims aussi.
Aujourd'hui la plupart des Zorlims vivent avec leur conjointe ou sont des rôdeurs !!

TEXTE : PREFACE SUR LES ZORLIMS !!

Les Zorlims

'Des p'tits héros chaotiques' Dirait un humain dénié de toute intelligence!
Les Zorlims sont aujourd'hui connus pour leurs bravoures dans les batailles gobelines avec les humains. Depuis ces batailles, ils ont acquît un respect des humains et des nains.

Réunion du XCVVII, Sujet : ZORLIMS ! Scribe : Zargam fis de Zargo

"Mais qui sont-ils au juste ?" Parole du Haut conseiller Elfique
"Les Zorlims étaient avant des démons" Parole du chef nain qui jeta un froid dans la réunion
"Mais, ils sont devenus 'gentils' et ont aidé aux nombreuses guerres contre les gobelins, il y a bien longtemps"
"A quoi ressemble-t-il ?" demandèrent les mages et les historiens
"Les Zorlims sont le plus souvent cachés, ils cachent leurs physiques, Non pas parce qu'il est immonde mais parce qu'il provoque une peur. Mais les Zorlims ont une peau rouge sang, où l'on voit le sang coulé dans leurs veines. Leurs corps sont souvent recouverts d'antiques tatouages ou de blessures cicatrisées. Mais leur visage est souvent un visage d'un sage humain, vieux..."
"Pourquoi ont-ils cette apparence ? Est-ce à cause de leurs origines démoniaques ?" demanda le prêtre de l'Eglise Humaines
"N'accusez pas les Zorlims pour leurs apparences" répondit le nain
"Les Zorlims ont un corps chaud, très chaud, leur température corporelle atteint plus de 40 °C, ils ne craignent donc pas de grands voyages dans les pays chauds !!"
"Il est étonnant qu'un nain sache tout cela" provoqua le prêtre
"Il est rare qu'un prêtre se batte à leurs cotés" répondit sobrement le nain.
Un brouhaha envahit la foule.
"Oui messieurs, je me suis battu à leurs cotés, j'ai vu, ce que les Zorlims sont capables de faire, avec leurs pouvoirs, leur agilité déconcertante, leur apparence troublante!! Ces personnes sont de véritables 'armes' vivantes et ils ne sont qu'au service des gens qui les payent"
Le brouhaha s'interrompit et les chefs elfiques demandèrent aux nains:
"Mais alors que pouvons nous faire?"
"Un choix est donc à faire", leur rétorquèrent les nains,"Laissez les Zorlims comme ils sont ou les renvoyer de nos ter..."
"Ces bêtes immondes, rester dans notre monde ? Ces envoyés de Satan, de Chamrodia ? Les laisser près de nos enfants ? Mais est-ce que vous êtes devenu des..."
"Et bien votons, tout simplement, le sort des Zorlims est donc entre nos mains messieurs et il n'y aura pas de veto et la déclaration sera donnée demain!"
Une tension s'installa, les races parlaient entre elle, et on pouvait entendre des jurons volés à travers la salle !
Peu de temps après, le vote s'effectua.
Les représentants des hommes votèrent pour leur sauvegarde, mais la partie de l'Eglise refusa catégoriquement ce vote et votèrent contre, les nains votèrent aussi pour la sauvegarde des Zorlims. Les Hauts elfes qui se souviennent encore des batailles gobelines votèrent aussi pour la sauvegarde des Zorlims, Mais les elfes sylvains, non d'accord votèrent contre...
La race des Zorlims pouvait donc vivre en paix mais les hommes d'Eglises affirmèrent qu'il n'y aurait pas de pitié avec cette race de Satan
FIN DE LA SEANCE

Voila ce que je peux dire de cette race !!

CHRONIQUES N° 2
Partie 1 !!
Livre des nains sur les Zorlims, Rapport Humain !!

Rapport fait par : Général Vendrémo

J'étais encore assez jeune, à cette époque mais je me souviendrais toujours de cette fameuse semaine, votre seigneurie. Cette semaine qui m'a fait découvrir, déjà, pour la première fois la guerre et ces horreurs et aussi la rencontre avec un de nos plus puissants alliés : les Zorlims
Déjà, je me rappelle, que j'étais à l'époque un jeune garçon, un jeune lieutenant complètement incompétent et arrogant, et pour la première fois, on me "balançait" dans la guerre. Sa Majesté voulait absolument arrêter les hordes de la Waagh gobelines et orcs. Toutes les races étaient concernées par ces fameuses batailles et guerres

A cette époque, je commandais un petit bataillon d'humains, fidèle à sa majesté et à notre Église. On devait s'occuper de l'assassinat de nos ennemis, en gros on était les bouchers qui devaient agir dans les premières lignes du front. On était caché comme des rats dans les tranchées et, de temps en temps, on rendait visite à notre commandant dans la tour de guet ! Nous étions accompagnés par des archers et des guerriers elfiques, et par des forgerons nains, et si je me rappelle bien on avait même des prêtres ! Pour l'extrême onction... (que nous n'espérons jamais avoir )

Et un soir, notre cher commandant, avec ces conseillers, nous annonça, à moi et mes compagnons, une nouvelle qui devait, soit disant, "Changer le cour de la guerre"

-(Commandant) "Vendrémo, j'ai une bonne nouvelle, nous avons un nouvel allié, une nouvelle race qui ne peut que nous aider, voir, nous faire gagner la guerre. Je vous présente : Garzam"

Un individu enveloppé d'une grande cape noir, ce qui ne permettait pas de voir ni son visage, ni son armure, ni ces pieds. C'était un homme qui était grand, de grande corpulence et qui semblait étrange voire diabolique, ce qui jeta un froid dans notre assemblée, seul le commandant semblait heureux d'accueillir un tel individu, il semblait plus démoniaque qu'un allié potentiel pour notre armée déjà réduite.

-(Commandant) "Ils seront à vos cotés dans la bataille et en attendant, ils seront silencieux comme des pierres", et il me souffla dans l'oreille, " Sous leur demande ils ne veulent pas être dérangés"

-(Vendrémo)" Mais mon commandant..."

-(Commandant)" Pas de mais, Lieutenant, Vous les prenez, point final, exécution.

Le Commandant se fichait bien que l'on ne mangeait pas à notre faim, que nos forgerons n'avaient plus de matière première, même nos prêtres n'avaient plus de médicaments et de bandages pour nos soins, car finalement les prêtres n'avaient que ces fonctions, médecins du corps et de l'esprit !! Alors, une personne en moins ou en plus, tant qu'ils ne mangeaient pas nos plats et qu'ils ne nous faisaient pas chier, on s'en foutait.
On retourna donc dans nos "quartiers", nos tranchées, avec nos nouveaux compagnons. Ils étaient trois, tous du même habit, une grande et unique cape avec capuche ! On se demandait comment étaient ces arrivants, les prêtres ne les abordaient pas, les autres guerriers ne les approchaient pas. Mais le silence est aussi lourd que la mort, les Zorlims étaient là assis, Face contre genoux. Seul les nains les approchaient.

-(Maître Nain) "Adihou Maître.... Maître ??"
-(Zorlim) "Maître Zorlims... Maître Nain, Zorlim."
-(Autre Nain) "Zorlims... Un VRAI ZORLIMS, et bien cela promets... Enfin un vrai Allié, et quel votre nom ?"
-(Zorlim) Après hésitation "Garzam, Maître Nain. Mais je vous prie de me laisser. C'est l'heure de notre entraînement mes frères !!"

Partie 2 !!

J'ai put mieux les observer, le jour. Ils étaient vraiment diaboliques mais seulement physiquement, moralement ils étaient misanthropes mais sans plus, pas très causant comme disaient mes compagnons. Pourtant sans la parole, ils étaient respectés dans le camp et par les nains. Ils ne parlent que entre eux mais de temps en temps ils causaient aux nains qui étaient toujours prêts à rendre service !

Mais cela faisait déjà 3 jours que nos rations étaient vides, trois jours qu'aucun combat n'avait eu lieu, trois jours d'attente, d'angoisses, de peur. Pour certaines personnes, le repos pendant la guerre était paradisiaque mais pour d'autres, l'attente était pire que la bataille ! "Est-ce que mère faucheuse viendra me voir ?" disaient les Hommes "Est-ce que Valaya me protégera ?" disaient les Nains !

Pourtant les Zorlims, eux étaient calmes, sereins et attentifs ! Voir même curieux. Mon commandant m'avait dit que les Zorlims ne devaient pas recevoir d'ordre de ma part et cela m'horripilait. Les voir si calme avant la bataille me rendait nerveux voire même agressif.

L'heure du soir approchait, et le bois se mît à manquer, on demanda donc aux nains et aux hommes d'aller en couper. Les elfes avec leur vue dans la nuit, restaient vigilants dans les tranchées, prêts à donner l'alerte en cas d'attaque. Mais les volontaires manquaient, blessés, fatigués ou même mort, beaucoup d'hommes manquaient à l'appel. Je demanda donc aux Zorlims

- (Vendrémo) Maître Zorlims, pourriez vous nous aider à couper du bois ?

Je m'aperçut rapidement que ma voix était ironique, voir même insultante, mais cela me rendait que plus heureux, je voulais les voir, agir, bouger, parler, se battre... La réponse se fit entendre rapidement :
-(Garzam) Et à quoi servira ce bois ?
-(Vendrémo) À faire du feu, évidemment.
-(Garzam) Mes frères l'heure du repas à sonner.

Là, à ce moment précis, mon cœur se noua. De qui parlaient-t-ils ? Et qu'allaient-ils manger puisqu’ils n'y avaient plus rien ? Des rumeurs disaient déjà que les Zorlims étaient avant tout des démons venus tout droit de l'enfer !! Ma main se posa sur mon fourreau mais le Zorlim répliqua

-(Vendrémo) Gardez votre peur pour le combat, Maître Vendrémo

Ainsi ils pouvaient ressentir ma peur qui m'inondait, je ne fut rassurer que quand les trois Zorlims passèrent devant moi pour allez accompagner mes hommes, dans la forêt.
Puis venu le moment de couper, encore et encore les arbres. Au début, les Zorlims observaient comment nous coupions les arbres puis très rapidement, Garzam se dirigea vers un de mes hommes avec une hache.

-(Garzam) Avec cette vitesse nous y sommes encore pour plusieurs jours je crois!

Garzam leva la main vers le ciel, et dit des paroles incompréhensibles, pourtant sa main, enfin visible, luisait dans la nuit, Rouge vif ! Mes hommes et moi reculèrent et le Zorlim s'écria :

-(Garzam) TIMMMBBBEERRR

Et il fit un geste vers l'arbre puis rien... pendant un instant mes hommes ne comprirent pas, puis tout un coup une grande marque rouge vif, apparut sur l'arbre et le coupa net !! Mes hommes et moi nous étions ébahit, comment ?? Pourquoi ??
-(Garzam) et bien on recommence ?

Il ne fallut que 2 heures pour ramener au camp, du bois pour 2 semaines ! Les feux étaient nourris et la chaleur dans le camp reprenait lentement. Nous étions toujours surpris par la force de ces nouveaux venus. Mais un détail nous troublait :

-(Maître Nain) Vous devez avoir faim, Maître Zorlim, que vous faut-t-il ?
-(Zorlims) Mais mes frères et moi, nous avons tout ce qui nous faut, que faut-t-il à part un feu, un bon bol de cendre et de braises ?

Après leurs paroles, les Zorlims sortirent donc un bol et prirent dans le feu brûlant, les braisent et les cendres du bois brûlé. Ils se nourrissaient ainsi, en mangeant les cendres... Cela ne me rassura pas, et ce qui me fit encore plus peur, c'était la convocation inattendue de mon commandant.

-(Commandant) Lieutenant, Préparez vos troupes au combat, à demain 6 heures, nous attaquerons les gobelins avant l'aube et je n'ai rien à ajouter !!

Les ordres étaient les ordres. Le camp se prépara, les catapultes chargées, les armes affûtées, les boucliers prêts, les hommes... prêts... La bataille aurait lieu demain et tout le monde s'endormit dans un sommeil dangereux... celui de la peur !!

Partie 3 Version B !! CORRECTION KARISTA


"Comment pouvions nous dormir dans de pareilles conditions, comment pouvions nous dormir à l’aube de la bataille ? Comment et pourquoi ?"
C’était ces fameuses questions qui me hantèrent pendant toute la nuit. J’avoue que d’autres questions étaient aussi dans ma tête : « Pourquoi suis-je-la ? Pourquoi moi ? Est-ce demain la fin ? »
Le coq chanta, et je me suis dit : "Voilà peut être la mort qui m’appelle". Je me réveillai donc lentement et dès que je me levai, mes hommes se levèrent de même. Ils avaient subi le même calvaire et l’unique enfer, L’attente du spectre …
Seul ces stupides Zorlims avaient du mal à se réveiller. Mes hommes durent les secouer pendant plus de 5 minutes avant de les voir se lever. Comme avant toute bataille, il me fallut récupérer mes ordres pour la guerre. Je me dirigeai donc au PC, dans la tour de guet. Le commandant, dès mon arrivée, me sourit et me donna mon ordre pour le futur combat :

(Commandant) –Vendrémo, vous prendrez vos hommes et les Zorlims pour détruire les artilleries adverses et je n’accepterai pas d’objection, vous pouvez disposer. La bataille commencera au signal donner par le PC.

Il se retourna et se dirigea vers sa table, en face de la grande fenêtre, qui donnait sur une grande vue du futur combat. Il prit sa pipe et fuma.

Je ne pouvais plus bouger, je ne comprenais pas : Pourquoi c’était toujours mon unité qui se tapait les plus dures des missions et les corvées ? Car cette mission nous menait au suicide simple et radical, car quand on disait à une unité : Allez détruire l’artillerie ennemie, cela voulait dire : Traversez la prairie qui sépare les deux camps, franchissez les tranchées ennemies, montez sur les collines où étaient les engins et bien sur, tout cela sans se faire tuer ? Et pourquoi pas nous donner directement une corde ?

C’est le cœur équerrer et lourd que j’allais voir mes hommes et les Zorlims. Ils fallaient leur dire !
(Guerrier) -Alors, chef. Quels sont les ordres ? Est-ce une simple mission pour une fois ?

En voyant le visage du pauvre guerrier, une mine détruite par la fatigue, l’attente et par la peur, cela me donna une raison de plus pour ne pas leur dire mais hélas, il le fallait
(Vendrémo) – Nous nous occuperons des artilleries ennemies … Désolé les gars.

Dès l’annonce de l’ordre, c’est comme si les fileuses avaient coupé les fils de nos vies, comme si le destin et les dieux nous avaient abandonnés. Mes hommes regardaient le sol, ou encore leurs bottes, d’autre pleuraient en silence, d’autres regardaient le soleil se lever !
Je devais parler !
(Vendrémo) – Guerriers, hommes de tout pays, mes hommes, mes frères, je sais que vos cœurs sont pris par le tourment, la peur, la fatigue, mais sachez que nous ne devons pas abandonner la bataille. Pensez à vos femmes, à vos enfants, vos amis qui souhaitent tellement notre victoire sur ces races impures et violentes. Préférez-vous, vous battre et que l’on vous considère comme des héros, des sauveurs des notre belle et grande race ? Où que l’on vous traite de ‘traître’ pendant toute votre misérable vie ?

Ce dernier argument eut de l’effet, je vis mes hommes reprendre un semblant de rage et de fureur dans leurs yeux, dans leurs corps !
Seul les Zorlims ne semblaient pas "intéressés" par mon discours, par la bataille. Ils ne pensaient qu’a leurs bols de cendre et de braises froides.
(Maître Nain) Vendrémo ! Tu sais quel est le signal du PC ?
(Vendrémo) Bonjour Kragg, non hélas, je l’attends comme …
Je n’eu pas le temps de finir ma phrase qu’un petit boulet atteignit le ventre du maître nain. Un boulet gobelin, il voulait tout dire, c’était le début de la bataille. C’était cela ? Le signal du PC ? Il fallait attendre que ce soit les ennemis qui nous bombardent ?

(Vendrémo) KRRRAAAGGGGG ??? Répond moi Kragg !!
(Kragg) Pff, et bien dis donc, me voila tout ballonner

"Dieu est loué" avais-je dit. Son armure l’avait sauvé, il était juste ballonné alors qu’il avait reçu un boulet de 10 kilos sur le ventre !
Tout un coup, un cor sonna, il traversa, la prairie, les montagnes, les nuages, les forets. Mais il pénétra aussi nos cœurs, nos esprits, et surtout notre rage ! Nos veines se gonflaient et nos mains se tendirent, épées à la main et bouclier dans l’autre ! Mes hommes et moi nous nous levèrent et crièrent un cri de rage et le reste du camp fit de même !! C’était grandiose ! Les Zorlims se réveillèrent. C’était le signal : La bataille commença

Je sortis de mon trou à rat, et je me mit à courir, tant que mes jambes me portèrent dans la grande prairie. Elle était vaste et large, remplit de trou formés par les nombreux boulets et boulets de feu envoyer par les différentes catapultes gobelines et orcs. Les fleurs écrasées, l’herbe quasiment inexistante. Au milieu de ce champ de bataille, il y avait des ruines d’un ancien château maintes fois détruites, brûlées et piétinées par nos bottes en fer et nos boulets. Il fallait y arriver et pour cela il suffisait de slalomer entre les flèches et les boulets ennemis : Un jeu d’enfant disait mon commandant ! Ou encore : Un véritable plaisir, comme si risquer sa vie sur ce champ était un plaisir.

J’y arrivai sans dommage. J’étais peut être bénit par les Dieux car mes hommes étaient presque tous présents, ce qui était un véritable miracle. Plus d'une vingtaine d’unité nous
rejoignirent dans ces carcasses de bâtiments. Ils avaient tous leurs buts et leurs missions.

(Vendrémo) –Où sont les Zorlims ? Demandais-je à mes hommes
(Kragg) – Je ne les ai pas vu Lieutenant, et la dernière fois que je les ai vu, c’était au début de la bataille

Des déserteurs ? J’avais été en compagnie de déserteurs. Je n’osais pas y croire, et dire que j’avais mis de la confiance en eux. Mais quelle naïveté !
(Guerrier) – Lieutenant, Lieutenant ?
(Vendrémo) –Oui quoi QUOI ??

Je me retournai et je vis un jeunot, qui me sembla avoir à peine 16 ans avec une dizaine de compagnons du même age !
(Guerrier) -Lieutenant notre chef est mort en arrivant ici, et je demande la permission de rejoindre votre équipe !
(Vendrémo) – Permission acceptée, soldat, notre but est de détruire les catapultes ennemies !

Le sourire du jeunot s’effaça aussitôt que j’avais prononcé ces derniers mots, il devait espérer que nous étions l’unité qui devait garder ces ruines, puisque nous étions arrivées les premiers ! Mais il ajouta :
(Guerrier) -On vous décevra pas mon Lieutenant
(Vendrémo) -Je sais. Alors maintenant allons-y les gars !!
Nous étions donc plus d’une cinquantaine d’hommes à foncer sur les unités orcs et gobelines, qui se rapprochaient à vive allure vers les ruines. Le but était de nous ouvrir le passage pour aller vers les catapultes ennemies, nous étions donc en arrière mais juste pour un moment !
Plus de 200 orcs étaient devant nous, remplient de haines, remplient de rage envers notre race et surtout infatigables !

Nous étions maintenant sur les lignes ennemis. Impossible de faire une percée, dès qu’un homme tuait un orc, trois autres arrivaient ! Leurs nombres étaient incroyables : je tua un, deux, trois, dix, vingt, trente et encore plein d’autres orcs mais mes hommes n’étaient pas éternels et ils tombaient surtout un par un par le nombre submergeant d’orcs. Moi-même ma force semblait diminuée, je me sentis partir.

(Voix de nain) Vendrèmo !! VENDREMO IL FAUT SE RETIRER, SINON ON VA Y RESTER !!
C’était Kragg, lui est ces hommes n’étaient déjà plus très nombreux et mes hommes étaient réduits à trois bons guerriers ! La retraite certes, mais à reculons.
Il fallait reculer aux ruines, pour mieux repartir avec d’autres hommes !
Mais je vis qu’il se passait quelque chose dans le rang des orcs. Quelque chose bougeait et tous les orcs s’écartaient, faisant place à un shaman orc, ces espèces de gobelins compléments givrés, et fous par leur abus de la bière de champignons venimeux. Mes hommes, Kragg et moi, semblions figés par la terreur qui émanait de ce gobelin maléfique. Il pointa ses mains vers le ciel en prononçant des paroles incompréhensibles. Plus le gobelin parlait, plus ces mains devenaient bleu vif ! Le sort était prêt
Il le lança sur les 5 hommes restants, il se figèrent en hurlant à la mort, puis quelques secondes plus tard, ils tombèrent carbonisé. Puis le visage du gobelin se retourna vers Kragg et moi. Je vis enfin la mort en face, elle n’était pas la faucheuse mais c’était ce shaman avec ces mains remplient de sorts des ténèbres !

(Kragg) -Que VALAYA me protége cria-il en lançant son hache runique en l’air et de cette hache jaillit une petite lumière qui se mit autour de moi et de Kragg.
Le gobelin rit et visa le nain, il recommença sa macabre danse et répéta ces abominations et la main reluisit !
Il lança le sort, mais le sort sembla ricocher mais le nain s’effondra quand même et sa lumière et la mienne s’éteignirent
(Vendrémo) –KRRRAAAAAGGGGG ….
Je n’eu pas le temps de continuer à l’appeler qu’une flèche atteignit le haut de ma nuque !
La douleur avait envahit mon corps, je ne pouvais plus bouger. Mon corps était paralysés et le gobelin recommencait ses terreurs.
Comment allais-je survivre à de telles attaques ?
Je fermai les yeux, en pensant à ma femme et mes enfants. Je suis désolé mes chéries, je n’ai put réussir à vous sauver. J’entendis le bruit du sort lancé mais aussitôt ce bruit fait, le bruit d’un oiseau se fit entendre et le bruit du feu se fit entendre.
J’ouvris les yeux et je vis une silhouette imposante, grande. Ce n’était pas humain, c’était une créature rouge vif, et cicatrisé de partout, et remplie de tatouages. Elle commandait de sa main droite, un oiseau. Ce n’était pas un oiseau ordinaire, c’était un oiseau de feu, qui semblait aspirer le sort du shaman .L’oiseau semblait grossir à vu d’œil. Plus le shaman envoyait d’énergie plus l’oiseau grossissait !! Le shaman le comprit et interrompu son sort.

(Voix) Lieutenant, retirez-vous vers les mines et prenez Kragg avec vous.
(Vendrémo) –Garzam ? C’est bien vous ? Je ne peux bouger, mes jambes sont en lambeaux.
(Voix) -Mes frères, amener le lieutenant et Kragg aux ruines. Et après continuez la mission.

Deux autres Zorlims sortirent de nulle part, encore vêtu de leur tuniques, me prirent moi et Kragg et ils nous emmenèrent aux ruines. Le transport fut rapide et efficace, dès que nous étions aux ruines, un des deux Zorlims demanda un prêtre et ils ajoutèrent

(Zorlim) –Prenez soin de vous mon Lieutenant, vous en avez déjà fait beaucoup

La terreur et la peur qui envahissait mon esprit, avaient disparu après ces douces paroles. Ce n’étaient pas des déserteurs, bien au contraire, c’était des guerriers avec une âme, une conscience et une véritable force. Les deux Zorlims prirent conger, et retournèrent au combat !

Je ne voulais pas les voir partir, je voulais les voir se battre, se déchaîner et voir leurs véritables visages pendant le combat !!
Je me mis donc aux bord des ruines, j’étais inaccessible pour les flèches, et les boulets étaient plus rivés sur les nouveaux combattants qui avaient engagé le combat contre l’armée verte, pourtant mes yeux voyaient tout, toutes les unités orcs et humaines mais ce qui m’intéressai le plus c’était Garzam !
Il était toujours au combat contre ce fameux shaman, il paressait si dangereux. Je parle bien sur du Zorlim, votre majesté. Son physique était véritablement démoniaque et ces sorts ravageurs. Je vis l’oiseau de feu de Garzam se lancer sur les unités orcs, Plus d’une vingtaine d’orcs vola dans les airs, ils étaient tous carbonisés. Le shaman recula parmi les orcs en hurlant des jurons avec sa voix stridentes qui parcourait toutes la plaines !

Au même moment, un homme cria :
(Guerrier) – Les catapultes ….. Elles sont détruites !! LES CATAPULTES ENNEMIES SONT DETRUITES !!

En effet, un feu "un peu trop gros" avait détruit les engins ennemis. Personne ne savait pourquoi, sauf moi. Notre mission était accomplie mais pas pour tout le monde.
Le Shaman hurla à la vengeance et il décida quelques choses que rarement un gobelin fait :
Il envoya toute l’armée orc sur le Zorlims, en pensant que le nombre le sudmergé rapidement.
Quelle ironie, des centaines et des centaines d’orcs courraient vers le Zorlims.
Le Zorlims lui hurla des paroles incompréhensibles, en effectuant une danse que je qualifierais comme étrange. Il termina sa danse en levant les mains vers le ciel et tout un coup, les nuages augmentèrent, ils devenaient nombreux et ils cachaient totalement le soleil. Ils étaient menaçants, sombres et forcement ils n’étaient pas naturels.
Un orage éclata et les éclairs fusèrent de tous nuages. Pourtant un proverbes nain dit : " La foudre ne frappe jamais au même endroit ", et ce fut pourtant le cas. La foudre était dirigée sur les bras du Zorlims. Ils formaient une boule géante. Tous les éclairs la visaient. Et plus les éclairs frappaient la boule, plus elle grossissait. La boule était trop grosse. Elle pourrait détruire la prairie et nous aussi. Mais je pense que Garzam en était conscient. Je le vis de loin prendre un orc et le jeta violemment dans la boule. La boule s’éclaira pendant un moment et redevint normal. Garzam allait la lancer. Il allait accomplir son destin et le nôtre par la même occasion.
Quand il la jeta, La boule se divisa en une multitude de petits rayons. Et ces rayons se dirigeaient sur l’armée orc ! Je vis les régiments se faire décimer par ce sort. Personne ne pouvait survivre à de pareilles attaques, même pas un shaman ! L’armée orc perdit de son ampleur : plus de la moitié des orcs était mort avec cette attaques et l’autre moitié était trop occupée à fuir plutôt qu’à se battre. La bataille et la guerre étaient terminées.
Il me fallut un moment pour le comprendre moi et les hommes mais il fut un moment où les cris de joie remplacèrent ceux de l’épée, des boulets, des boucliers fracassés. On pleurait, on hurlait, on ne pouvait plus contenir notre joie !! Je regardai pendant un moment Garzam. Il ne bougea plus, il était debout, il était grand, il était notre sauveur. Pourtant Garzam tomba lentement, comme tombe un arbre ou une statue et ce ne fit même pas de bruit.

(Vendrémo) Un médecin, UN MEDECIN POUR LE ZORLIM !!
Plus de 5 personnes se précipitèrent vers l’endroit ou le Zorlim était tombé, et c’était bien le cas, il est tombé. Il est mort sur le coup, les médecins l’annoncèrent rapidement et ils n’avaient pas de conclusion à cette mort, moi j’en avais une Excellence, Il avait sacrifié sa vie pour nous, ce sort était forcément fatal pour lui. Il était mort pour nous sauver.

Ces funérailles furent certes discrètes mais recueillies. Et comme le voulaient les autres Zorlims, il fut brûlé puis mangé par ces frères, Grâce à ces braises, il nous rendra plus fort !!

C’est sur ce point que je termine ce rapport excellence. Alors maintenant, je vous le demande en tant que soldats, arrêter de poursuivre les Zorlims comme vous le faites. Ce sont eux les sauveurs et ce sont eux les chassés, il y a quelques choses qui ne tourne pas rond. Les Zorlims ne sont pas des démons, ils sont nos alliés, nos voisins, nos amis !

En espérant avoir servi votre Majesté

Général Vendrémo

Note de sa majesté,

FAIRE ATTENTION A CE VENDREMO, PEUT ETRE EST-CE UN HERETIQUE !
SA MAJESTE DE L’EGLISE HUMAINE

Et une nouvelle chronique bien chaude : Correction KARISTA et TOXOPHILE !!
Encore merci à vous deux !!

La première ‘rencontre’ avec les orcs !

J'étais jeune à cette époque, je n'avais que 120 ans. Je m'appelle Torgram,
Maître d'armée de l'armée naine de Karak of Karik. A l'époque, je n'étais
qu'un bon fils de forgeron et je voulais ressembler avant tout à mon père
!! le grand forgeron de Karak of Karik. Et puis le jour de mes 120 ans, mon
père m'appela et me demanda de préparer des affaires pour au moins une
semaine !!

-(Père) Torgram, pour la première fois de ta vie, tu vas quitter la
citadelle et venir avec moi voir la forge de Fragëa.

Cette forge était la plus fameuse forge de l'empire nain, on y construisait
de tout et surtout les armes les plus perfectionnées pour notre empire !
Cette forge se trouvait près de la montagne du pic de lave, à quelques
jours de cheval ou une semaine pour des nains chargés. Et comme le disait
le nom de cette montagne, c'était un volcan en activité !

J'étais tellement excité de partir, qu'il ne me fallut pas plus de 3
minutes pour rassembler mes affaires et faire mon sac. Mon père ria et me
dit :

-(Père) Hé, hé il me faut plus que trois minutes pour réunir mes affaires
petit, alors va te détendre. Il me faudra au moins une bonne heure pour
faire mon sac. Va fils !

'Rgnongnon' me disais-je en m'éloignant. Je ne voulais pas attendre, mon
esprit le refusait ; je voulais partir et visiter le monde ! Mon sang était
bouillant et mon esprit prêt !! Mais bon, je devais tout simplement me
détendre car le sage disait toujours :

" La patience amène la réussite et la joie "

L'unique solution pour calmer un nain, c'est bien la Taverne et une bonne
bière ! C'est ce que je fit, je me précipitai donc à la Taverne.

" Une bonne bière Tavernier, pour me calmer ! "
-(Tavernier) Oh oh, c'est aujourd'hui que tu pars avec ton père fiston !! "
-(Torgram) En effet Tavernier, et il faut que je me calme?
-(Tavernier) Hé, Yuriko, amènes une bière gratuite pour le p'tit !

La belle Yuriko s'avança, toujours aussi belle en tenue de serveuse, une
belle robe rose qui mettait en valeur sa féminité, et un sourire complètement
craquant ! Tous les nains tombaient sous les charmes de cette si belle
naine !

-(Yuriko) Alors comme cela tu vas partir avec ton père mon p'tit Torgram ?
-(Torgram) euh et bien euh ? en effet mademoiselle ? je vais?
-(Yuriko) Appelle moi Yuriko, je préfère cela.

Elle me fit un clin d'?il qui fit sursauter mon c?ur ! Elle était si jolie
!

-(Yuriko) Moi j'aimerais tellement voir le monde extérieur ? être enfin
libérée de cette cité?
-(Torgram) Euh certes j'ai de la chance, mais hé hé pourquoi tu ne viens
pas ?
Avec ?
-(Yuriko) Sérieusement je peux ? Je peux ??? Ohh merci ! Torgram !! Je vais
me préparer, je viens chez toi dans 2 heures !! Encore merci !
-(Torgram) Hé mais attends je n'ai même pas demander à mon?
-(Tavernier) Je crois que tu viens de lui offrir son rêve !! Alors,
assures?

Ces dernières paroles me paraissaient plus qu'absurdes mais j'étais heureux
; j'allais avec mon père et la belle Yuriko, quel pied !! Elle s'éloignait
déjà, l'air heureuse !! Mais je sentais que ce moment de bonheur allait
vite disparaître !!

-(Père) QUUUOOII ? Tu as dit à Yuriko de venir avec nous ?
-(Torgram) Père, elle n'a jamais eu de famille, et elle a envie de
découvrir le monde tout comme moi et en plus?
-(Père) Et en plus ?
-(Torgam) Peu importe !! Si on lui dit, elle ne le supportera pas !!
Comprends-tu ?
-(Père) Je pense qu'il n'y a pas que cette raison mais bon? c'est d'accord,
elle vient avec nous mais si elle commence à m'énerver?
-(Torgram) Merci papa !!

Je pris mon père dans mes bras. Il n'était pas énervé, et me voir content
ne le rendait que plus joyeux !

(A SUIVRE !!)
PFSM999

Merci à Karista !! elle avait du boulot !! Et encore merci Toxophile !! :DD MERCI A VOUS !!

Maintenant que nous étions prêts, nous pouvions y aller, nous allions enfin
franchir les portes de Karak of Karik et découvrir nos territoires et notre
monde !
-(Garde) Bon voyage Torgrum !! Et prends soin d'eux.
-(Torgrum) Merci et dis à Kiromu que je serais bientôt de retour !

Nous passions enfin la grande porte, cette porte qui mesure plus de 50
pieds de hauts (en langage humain : 15 mètres) et qui pourrait résister aux éventuelles attaques de dragons et de bataillons ennemis !! Elle était si imposante, avec ses différentes statues de nos ancêtres et ses diverses
gravures qui représentent les différentes richesses de notre forteresse.

-(Torgrum) Et bien maintenant, allons-y !
-(Yuriko) Yesss enfin on quitte cette vielle forteresse !!
-(Torgrum) Karak of Karik n'est pas une " vielle forteresse " c'est une
forteresse qui a été créée dans les années...
-(Yuriko) Et voila le vieux qui est passé en mode : "Historien " j'espère
qu'il se calmera le vieux !

Je pouffai de rire à ces paroles. Certes père était un peu vieux, radoteur,
avare mais il avait, quand il était en forme, un véritable c?ur d'or.
Nous voyagâmes pendant toute la matinée et nous quittions enfin les
montagnes pour découvrir les forets ainsi que les grandes plaines. Bien
sûr, on avait fait quelques sympathiques rencontres : des animaux féroces
et affamés, des araignées, et quelques trolls par-ci par-là ! Mais sans
plus. On décida donc de faire une petite pause : BOUFFE ! Pour manger et détendre un peu nos jambes !

-(Torgrum) Tiens, fils, une bonne cuisse de sanglier, et?
Il fouilla dans son sac et en sortit un petit tonneau
-(Torgrum) UNE BONNE BIERE ! Hé hé, j'espère, Dame Yuriko, que cette
nourriture vous plaira ! " dit mon père d'un ton ironique et moqueur.
Je m'attendais à ce que Yuriko réponde mais elle n'en fit rien : elle prit
une belle cuisse et elle s'en goinfra, mon père était ébahi, il devait
penser que Yuriko était une petite naine un peu trop chieuse : " une
véritable elfe quoi !! ". Moi je savais que Yuriko était capable de tout et
cela ne me rendait que plus heureux. Elle se mit aussi à boire ! Et on
remarqua rapidement que l'alcool rendait Yuriko, un tout petit peu trop "
Joyeuse "!!

-(Yuriko) Bonnnn alllleeeezzzzz, iiilll fffffaaaauuuuuttt partirrrr !

Elle se leva, marcha pas plus de 3 secondes et s'écroula endormie !!

-(Torgrum) Voilà le problème : les naines ça boit mais quand c'est pas
habitué, voilà le résultat !!

-(Torgram) Portons-la père, jusqu'à la rivière, pour la dessaouler !
On la porta donc vers la rivière, et on lui jeta de l'eau sur son beau
visage pour qu'elle reprenne conscience ! Elle se réveilla rapidement et
dès qu'elle ouvrit les yeux elle cria en se jetant sur moi :
-(Yuriko) ATTENTION !
FFLLLIIISSHH
Une flèche se planta dans un arbre derrière moi, une flèche humaine. On
était attaqué. Je me relevai et je vis mon père prendre une hache à deux
mains et foncer sur un arbre, l'arbre où était le tireur de la flèche. De
mon coté je pris mon arquebuse et je regardai les alentours. Il n'était
forcément pas seul ; il devait être accompagné ! Ma vue était heureusement
extrêmement précise ; elle était habituée au camouflage et à la nuit
permanente de la mine de Karak of Karik !
Je remarquai trois autres humains rapidement, tous planqués dans les
arbres. J'en visai un, et je tirai. La branche se brisa et l'homme tomba et
s'assomma avec la branche, sur le sol. Pendant ce temps, mon père, lui,
trancha l'arbre net ce qui fit basculer le tireur : il tomba de haut lui
aussi.
Yuriko, elle, avait disparu mais pas pour longtemps ; je la vis, courant
rapidement en direction des deux autres !
-(Torgram) NNONN PAS PAR LA !
Mais Yuriko se retourna tout en continuant de courir et me fit un rapide
clin d'?il !
Elle avait dans la main, un petit tube en bambou.
Elle se précipita sur les deux autres qui bondirent de leur cachette pour
attaquer la pauvre naine ! Mais la naine avait plusieurs tours dans son sac
: elle sortit de sa poche des fléchettes qu'elle mit dans son tube et elle
souffla fort dedans. Les deux bandits s'arrêtèrent dans les airs et
tombèrent raides au sol !

-(Yuriko) Et c'était les fléchettes faîtes par Yuriko la pro des
herboristes !!
Elle n'avait peut-être pas notre force mais elle avait une chose que
j'aimais beaucoup, la classe !!

Nous ne devions pas nous attarder ici ; les bois grouillaient de voleurs et
d'humains louches. Il fallait partir et c'est ce que nous fîmes ! On marcha
jusqu'à la tombée de la nuit !
-(Torgrum) Je pense fils que nous dormirons ici, cette clairière est
l'endroit rêvé pour dormir tranquille !
C'était une petite clairière fort sympathique qui comprenait à la fois une
petite rivière et un peu d'herbe séchée par la chaleur de l'été ! On voyait
déjà les étoiles apparaître dans le ciel. Yuriko prépara le repas à l'aide
des ustensiles que l'on trouvait ici et là. On avait eu : un petit poulet
avec un peu de laitue, je crois. Par contre, mon père ajouta sa touche
personnelle en mettant de la bière.
Ce fut fort agréable et fort bon ! Mais il était temps d'aller dormir !
Mon père alluma un feu qui permettrait de nous chauffer pendant cette nuit longue !!
Longue, parce que je ne pouvais pas du tout dormir. Entre les bruits des
animaux, des hiboux, de la forêt et du vent, il m'était impossible de
dormir.
Moi qui avait été bercé par le bruit de la forge et de la mine, ces bruits
m'empêchaient de me reposer !
-(Yuriko) Si tu veux vraiment dormir, je peux te donner un somnifère de mon invention !
Je me réveillai en sursaut et je vis que Yuriko ne dormait pas du tout ;
elle était assise et elle regardait le ciel et, à mon avis, les étoiles !
-(Torgram) Euhh merci, mais c'est gentil de proposer !
Après une hésitation, je demandai :
-(Torgram) Et toi pourquoi tu dors pas ?
-(Yuriko) Depuis que mes parents sont morts j'ai beaucoup de mal à trouver
le sommeil !
-(Torgram) Désolé, je ne savais point?
-(Yuriko) C'est pas grave et comme tu le dis : tu ne savais rien !
Je regardai encore les étoiles ! Et elle continua de parler :
-(Yuriko) Mais je sais que mes parents sont là, quelque part, là-haut dans
le ciel. Et ils me regardent. Je ne veux pas leur faire honte ! Je veux,
comme eux, visiter ce monde !

Je regardais les étoiles à mon tour. Elles sont vraiment magnifiques, si
douce. Sans que je m'en aperçus, Yuriko s'endormit sur mes épaules ; elle semblait si tranquille, si détendue, mais ce petit détail m'empêcha ENCORE PLUS de dormir. Je ne vous raconte pas les yeux que j'avais le lendemain : des poches immenses mais par contre Yuriko et mon père étaient, eux, en pleine forme.
Nous décidâmes de repartir, nous étions bientôt arrivés à la forge !
Nous arrivâmes enfin à la forge ou plutôt à la ville de Fragëa La forge ;
la ville possédaient le même nom. Cette ville était assez vide, et assez
délabrée, comme si les gens restaient cloîtrés dans leurs maisons. Mon père décida d'accoster un garde !

-(Torgrum) T'en Adiyou maître nain, mais pourquoi cette ville est aussi
morose ?
-(Garde) T'en Adiyou, cela fait plus de 2 mois que nous n'avons plus de
nouvelle de la forge et toutes les personnes qui y sont allées n'en sont
jamais revenues. A cette nouvelle, mon père fut désemparé comme cloué sur place !
-(Torgrum) Mais? mais? MAIS comment ? Pourquoi ?
-(Garde) On ne sait pas mais depuis que le volcan c'est réveillé, tout va
de travers. Déjà le soleil n'est pas apparu depuis plusieurs semaines et
donc les récoltes sont très mauvaises et une pluie de cendre a détruit la
récolte de l'herbe à pipe !
En effet, le soleil n'apparaissait plus, de gros et menaçant nuages
envahissaient le ciel qui avait perdu tout son charme.
-(Torgrum) Nous devons absolument aller à la forge pour voir ce qui s'est
passé !
-(Garde) Si tel est votre destin ; mais restez quand même une nuit pour
vous reposer dans notre auberge.
Je savais ce qu'allait répondre mon père, comment il aurait put rester en
place en sachant que ses frères et ses amis d'enfance étaient là-bas
peut-être en danger ! Il fallait y aller et c'est ce que nous fîmes !
Nous partions dans les petits chemins de la montagne, ensevelis le plus
souvent par les cendres qui s'amassaient. Il fallait gravir la montagne
pour se rapprocher de la mine. Mon père était devant ; il regardait, il
espérait sûrement pouvoir voir la forge !
-(Torgrum) Là-bas ! LA FORGE !!
En effet, en marchant, nous vîmes la forge, un grand bâtiment creusé dans la montagne qui avait des cheminées immenses, belles, grandes, imposantes mais inactives. Aucune fumée n'en sortait et la vie? encore moins. Nous devions rentrer, et par miracle, la porte était ouverte. Ce fut la pire expérience de ma vie, au lieu de sentir l'habituelle odeur de la lave en fusion, nous sentîmes une odeur acre, qui empeste, celle de la mort. En effet, l'odeur de la mort et du combat régnaient en ce lieu. Les cadavres recouvraient le sol mais il ne semblait pas être morts d'une belle mort ; ils semblaient morts dans d'horribles souffrances : certains nains étaient pendus au plafond ou encore la tête plongée dans la lave en fusion. Ils étaient tous morts, et aussi imberbes comme si on les avait tondus avant de les tuer. Et tout nain sait que le pire supplice pour notre peuple est de perdre sa barbe !
Yuriko ne semblait pas bien du tout, elle devait voir pour la première
fois, tout comme moi, la mort en face et imaginer la mort qu'avaient put
avoir ces pauvres parents.
-(Torgram) Yuriko est-ce que?
-(Yuriko) Non ça va, mais reste près de moi, je n'aime pas cet endroit. Il
ne sent pas que la mort ; il sent autre chose, un véritable mal rode ici !
-(Torgrum) Elle a raison, fils, il y a quelque chose ici, sortez vos armes.
Je vis mon père sortir ses haches et mettre son casque, je pris mon
arquebuse et je préparai mes haches au cas où? Yuriko prépara ses
fléchettes et ses différentes fioles.

Nous avancions à tâtons. La lumière de la lave était engloutie par les
ténèbres au fur et à mesure que nous avancions. On alluma donc les torches pour s'engouffrer dans le couloir qui menait vers les endroits où nos frères creusaient pour récupérer les métaux nécessaires pour la fabrication des armes et des armures.
Plus nous avancions, plus le sol était jonché de cadavres : des guerriers, des miniers et quelques scribes. Mon père s'arrêta devant l'un d'eux et prit le livre qu'il tenait dans la main droite, rongée par on ne savait quoi.
Mon père prit le livre et l'ouvrit à la dernière page, voici ce qu'il y
avait d'écrit :

" Cela fait plusieurs jours que nous avons découvert ces restes. Ils
étaient congelés dans de la glace, plus de 600 êtres. Il semble que ce
soient des elfes ; ils possèdent de longues oreilles et ils font plus de 1m
80. Mais ce qui est étrange, c'est qu'ils possèdent des crocs énormes. Il
semble, d'après les marques sur leurs bras, que ces êtres aient subis des
tortures avant d'être congelés. Ils ont plus de 1000 ans, du temps où
la montagne était encore recouverte du glacier datant de la dernière grande ère froide."

" Ce n'est pas finit ", ajouta mon père !

" Ils se sont réveillés, et nous ne pouvons pas lutter. Ils ont envahit nos
galeries ; ils veulent sortir d'ici. Pour notre survie et celle de nos
frères, nous avons bloqué les galeries principales EST et OUEST ! Mais nous craignons que cela ne suffise pas ; il faut que nous sortions d'ici et que nous détruisions ce lieu ! "

Les dernières paroles du scribe avaient été très claires : il fallait
sortir d'ici ! Des bruits se faisaient entendre, les galeries s'éclairaient et des grondements se firent entendre !
Nous décidâmes de revenir sur nos pas au plus vite, les armes à la main !
Mais quand nous sortîmes des couloirs, l'entrée n'était plus vide ; des
créatures étaient là, une petite vingtaine, cherchant quelque chose,
sûrement nous !
Ils semblaient plus qu'hostiles et nous n'avions pas d'autres choix que
d'attaquer. Ma visibilité devait être bonne car je fis rapidement voler des
têtes. Mon père, quant à lui, coupais les bras avant de tuer les êtres. Ce
n'était pas des elfes ; les elfes sont souples et intelligent tandis que
ceux-là était lourds et n'étaient pas souples du tout ! Ils avaient certes
de la force mais sans plus !
Yuriko, quant à elle, fit voler ces êtres grâces à ces différentes potions
qui explosaient au contact de la chaleur! On se débarrassa rapidement de
ces êtres !

-(Yuriko) Mais pourquoi les autres n'ont pas réussi à les tuer ; ils
n'étaient à peine que 600 !! Et la forge contient plus de 400 nains ?

La réponse se fit rapidement entendre, on entendit des grands bruits venant des couloirs. S'ils avaient été au début 600, ils devaient rapidement augmenter leur nombre car 400 nains auraient prestement tué ces vermines. Ils criaient tous : "
ORC, ORC, ORC JDANUVO ".
Cela devait être leur cri de guerre mais une chose était sûre, il fallait
quitter cet endroit. Nous nous sommes précipités vers la porte pour sortir
Mais mon père s'arrêta net :
-(Torgrum) Les enfants, prenez ceci et faîtes exploser la porte, je les
retiens et je reviens, mais prévenez-moi !
Il nous donna un petit sac, qui contenait des explosifs. J'imagine que
c'était pour la mine qu'étaient destinés ces explosifs. Nous sortîmes et
nous préparâmes les explosifs. Le vent et les cendres n'aidaient pas
beaucoup.
Yuriko plaça les explosifs et moi, je préparai les fils qui allaient les
faire exploser.
-(Yuriko) Tout est prêt Torgram.
-(Torgram) Moi aussi.
Je me précipitai vers la porte pour prévenir père :
-(Torgram) PERE, LA PORTE VA SAUTER, SORTEZ !!
Mais rien ne me vint comme réponse, que le bruit des lames qui
s'entrechoquaient.
-(Torgram) PPPEEEEERRRRREEE
Mais aucune réponse ne me vint ! Les bruits des lames s'étaient arrêtés. Le silence était total !
-(Yuriko) On n'a plus le temps, il faut tout faire sauter où alors on y
reste !!
Mais il n'était pas question que je laisse mon père entre les mains de ces
vermines ! Quand je rentrai dans la forge, je vis mon père seul, épuisé par le combat et plus d'une cinquantaine de créatures autour de lui, entassés et morts ! Mon père me vit et s'écroula de fatigue.
-(Torgram) PPPEERRREEE !!
-(Torgrum) Fils, sort d'ici. Je les ai retenus mais ils vont revenir ; il
faut que tu les arrêtes fils, il faut que tu partes d'ici !
-(Torgram) Pas question que je te laisse ici papa !!
-(Torgrum) Tu prendras soin de Yuriko et de Kiromu, n'est-ce pas ? Mais
annonce la nouvelle aux nains ; il faut qu'ils fassent attention à ces
êtres, à ces " orcs " à cet endroit et surtout à cette montagne.
Il me regarda, ses yeux étaient fatigués par le combat !
-(Torgum) Fils, je suis et je serais toujours fier de toi !
Et après ces paroles mon père mourut d'épuisement et de fatigue.
La suite, vous la connaissez ; j'ai fait exploser la porte et l'entrée fut
condamnée, puis, je ramenais Yuriko à Karak of Karik
J'annonçai promptement au roi la
terrible aventure et il prit une décision radicale : la montagne où se
trouvait la forge serait en quarantaine !
Aujourd'hui j'ai 459 ans, je suis marié avec Yuriko. J'ai deux enfants que
j'instruis comme l'a fait mon père. Les orcs ont été repérés dans
différentes régions qu'elles soient elfiques, naines ou même humaines. Ils
se sont multipliés au point de devenir nos pires ennemis !
Je lutte pour leur destruction et je le ferais jusqu'à ma mort !

vivement une nouvelle histoire !!!!

Ze te félicite.

Et la suivante hein? contre un muffin aux bananes version nanesque hein?

Je vous en prit mon inspiration est grande ouverte à vos idées !!
et merci encore !!
Et voici mes notes ...
Oui bon ben voila ...
J'ai beaucoup aimé écrire cette chronique !! Je n'avais pas beaucoup d'idée pour la création des orcs, et mon imagination était au plus bas, je remerçit le codec nain (ancienne version) qui m'a aidé !
Je suis désoler Shinji de t'avoir piquer le nom de Yuriko mais je l'aime tellement Et en plus je l'ai mis en valeur car j'en ai ralle le bol que l'on dise que les naines sont moches !! D’accord ?
Voila !

Ouahou !
Ben dis donc, du beau boulot ça ! Chapeau !
Encoreuuuuuu !

J'ai trouvé un nouveau sujet : Les voleurs !
Et oui merci à Dalcoy de m'avoir fournit l'information (mais il n'a rien fait ..... ! )
Donc mon prochain écrit parlera des voleurs ! ou plutôt d'un voleur !!

MAGNIFIQUE, INCROYABLE, STUPEFIANT, qu' elle titanesque épopée

Franchement tu a une très belle plume !!!!

Si tu na vraiment plus d’ idée j’ en ai bien une mais je ne pense pas qu’ elle soit vraiment digne d’ être écrite ainsi enfin bon si tu na plus rien a écrire …

Citation :

MAGNIFIQUE, INCROYABLE, STUPEFIANT, qu' elle titanesque épopée

Franchement tu a une très belle plume !!!!

Je n'ai qu'une chose à dire :
Et donnez des idées, après le texte pour Dalcoy, je serai peut etre inspirer pour ton idée !!

Moi z'aimerais une suite du livre des nains sur les gobelins. Leurs cultures, comment sont ils devenus les enemis des nains.... Ze te laisse à ton imagination.

Pas bêtes, j'ai déja pas mal d'idée mais j'ai déja un projet,
Ce sera le suivant promis !!

Zarakai dans le train ?
ET EN PLUS IL LIT MES TEXTES ?
Et ben dis donc !
Pour mon histoire de voleur ... j'en suis à la moitié mais laissez moi le temps et je ferais la suite !!

Et voici une nouvelle histoire : celle de Keops THANK : KARISTA AND HIS LOVE DALCOY

L’histoire de Keops
Partie 1

Nous sommes dans les années où l’économie des nains était à son apogée où les royaumes des humains étaient détruits à cause des nombreuses guerres gobelines. Les elfes, les nains et les gnomes fournissaient les matériaux nécessaires à la reconstruction des villes humaines. En cette période, le travail ne manquait pas mais cela n’améliorait pas du tout la condition de vie des habitants, bien au contraire : les pauvres devenaient de plus en plus misérables, et les riches ne cessaient de gagner de l’argent !
Après la reconstruction des villes, un nouveau cas de criminalité est né dans toutes les grandes villes humaines : les voleurs, qu’ils soient voleurs de bourses, de bagages, d’objets ou encore des cambrioleurs !
Et c’est aussi dans cette époque, que Keops, humain d’une vingtaine d’années, découvrit son avenir.

Nous sommes dans la ville humaine nommée Kariols, ville connue pour son échange entre les races, que ce soit dans le commerce, mais aussi dans les vivres et même l'éducatif, cette ville était une ville de commerce !
Keops, était un humain qui n’avait à peine que 21 ans. C’était un jeune sot de son époque, fils d’un commerçant. Il aidait son père dans ces affaires et il gérait le magasin familial : « Armurie Keopsi & co ! ». Ce fut bientôt l’unique richesse de la famille. Les affaires allaient de moins en moins bien, les nains possédaient des armes beaucoup moins cher, et les elfes étaient des bien meilleurs armuriers que les humains. Mais Keops ne semblait pas concerné par ces affaires, il ne pensait qu’à chanter, rire, picoler avec ces amis ou encore faire le joli cœur aux demoiselles dans la rue !
Pourtant un soir, Keops, alla chercher du matériel pour la construction des armures de son père ! Il se dirigea donc, comme à son habitude, vers le quartier réservé à la métallurgie. Tous les humains se fournissaient en métaux grâce aux différents magasins nains qui ne cessaient de fournir à profusion tout métaux, sous réserve d’or !
Keops se rendit donc dans un magasin où il allait fréquemment. Dans le magasin, il n’y avait qu’un nain, qui attendait juste les commandes des personnes. Pas d’étalages, pas d’exemple des métaux proposés, une simple liste qui contenais les prix des métaux à la tonne !
Keops devait prendre, ce jour là, 120 kilos de fer brut, ainsi que 10 kilos de Mithril et 50 kilos de cuivre.
Il s’avança donc vers le nain pour prendre commande.
-(Nain) Bien le bonsoir, monsieur le comte !
Une personne s’éloigna, c’était Monsieur le comte, gérant de cette ville. Il regarda avant de partir Keops dans les yeux puis il continua sa route ! Keops se retourna vers le nain.
-(Keops) Tu fournis du fer au comte toi maintenant ?
-(Nain) Tien Adiyou maître Keops ! Et tu sais bien je fournis tout le monde, s’ils ont une bourse bien remplie. Alors aujourd’hui que veux-tu ?
-(Keops) Et bien mon père désire aujourd’hui : 120 kilos de fer brut, 10 kilos de Mithril et 50 kilos de cuivre.
-(Nain) Ton père a une commande spéciale pour demandez du Mithril ?
-(Keops) Je me fous totalement des commandes de mon père ! S’il désire 10 kilos de Mithril, c’est son affaire
-(Nain) Bien je l’amène toujours au même endroit ?
-(Keops) Toujours mon cher nain !
Le nain s’assit et prit la plume pour écrire la commande, il me dit :
-(Nain) Sais-tu au moins que Monsieur le comte, en veut à ton père !
-(Keops) Pour cette armure ? Qu’il n’a pas réussit à l’heure ?
-(Nain) Peut être mais en tout cas, Monsieur le comte m’a dit que bientôt, tout allait changer !
Keops ne prit pas au sérieux, les paroles du nain, aussi sérieuses qu’elles soient, il ne se sentait toujours pas concerné par ça !
Pourtant, bientôt il sera concerné !
Alors qu’il rentrait chez lui en prenant les chemins habituels, il vit une grande fumée qui se dégagea du quartier où il habitait !
Il accéléra lentement ces pas :
« Que se passe-t-il ? D’où vient cette fumée ? »
« C’la vient des fondeurs … *» *Patois qui signifie Forgerons
Ces paroles fit accélérer encore plus les pas du jeune homme ! Il arriva rapidement devant chez lui !
Une vision d’horreur apparut aux yeux de Keops ! La boutique et la maison brûlaient à grandes flammes ! Toute une vie disparaissait devant lui ! Toute son enfance, toute son adolescence avaient disparut dans ces flammes !
Tout le quartier faisait des chaînes d’eau pour essayer mais en vain d’éteindre ce qui « restait » de la pauvre boutique, complètement carbonisée.
Les autres forgerons et armurier prirent alors Keops, par le bras et l’emmenèrent dans un coin. Pour lui expliquer, pour lui dire où étaient ces parents, Ouais c’était sûrement pour cela !
Ils avaient tous un regard grave, et miné, on aurait dit un enterrement. Ils regardaient soit le sol soit les uns des autres en prenant soin de ne pas regarder le jeune adulte qui ne comprenait rien à la situation !
Puis l’un d’eux se décida ! Il s’avança d’un pas lourd et distingué, et il parla à Keops.
-(Forgerons) Nous sommes désolés, fils, mais tes parents ne sont plus de ce monde, ils reposent en paix, près de notre dieu …..
Il continua à parler mais les oreilles de Keops n’entendaient plus rien, le chaos avait envahi son esprit ! Il ne voyait plus rien, il était seul face à ce désastre, ces parents étaient morts, le magasin détruit, et il ne savait rien faire !
Il n’attendit pas la fin du discours des forgerons, il courut de toutes ces forces, en hurlant à la mort ! Comme une bête blessée courant pour fuir son agresseur !
Il sortit de la ville rapidement pour courir dans les champs de blé.
Le chagrin avait envahi son esprit, il ne pouvait pas s’agir d’un accident, il devait s’agir de quelque chose, ou plutôt de quelqu’un !
-(Keops) LE COMTE ! C’EST LUI !
Il hurla encore une fois, mais ce n’était pas du désespoir qui sortait de sa bouche mais des mots sur la vengeance, sur la justice.
Il reprit après plusieurs heures, la route ! Pour enfin vivre son destin, sa vie !



La vie de Keops s’est ensuite déroulée de la façon suivante :
Keops est arrivé dans les villes humaines, il lui fallut d’abord mendier pour obtenir à manger, mais il comprit vite que le vol était beaucoup plus efficace ! Il apprit, grâce aux mendiants, les moyens de se cacher, de voler et aussi de grandir ! Il découvrit la véritable apparence de ce monde : Il le considérais comme injuste et impure ! Mais il voulait avant tout se venger du comte, au nom de son père, au nom de sa famille, au nom de lui-même !
Il rencontra ensuite, grâce à ces nouveaux amis, des voleurs attitrés, qui avaient des méthodes bien précises ! Certains étaient spécialisés mais Keops décida de tous les rencontrer et un par un d’apprendre leurs méthodes !
Les séances d’apprentissages étaient simples : Démonstration et action. Plusieurs fois, Keops dut courir ou fuir mais il avait des aptitudes pour apprendre rapidement les tours de passe-passe et les méthodes ! Sa soif de vengeance l’aida à apprendre vite et à devenir un voleur professionnel !
Plus de 15 ans passèrent, mais maintenant, il pouvait voler des bijoux, de la nourriture, et même des armes ! Il était beau, plein de charmes pour pouvoir charmer ces « proies ». Il était devenu renommé.
Il était recherché pour de nombreux vols mais comme personne ne connaissait son véritable visage ! Il lui était simple de se cacher. Keops était synonyme de terreur dans certaines villes !
Keops avait pourtant toujours aussi soif de connaissance, il voulait rencontrer les grands voleurs, il voulait les voir, leurs parler, et apprendre leurs savoirs.
Il les chercha par tous les moyens. Il interrogea ces informateurs qui lui indiquèrent qu’il y avait un grand voleur, près de là, dans une certaine ville, qui s’appelait ‘Kariols’.

Bon je ne sais pas si c’est bien alors pouvaisez-vous me dire votre avis ?

Certe Dalcoy mais cela ne dit pas ce que tu en penses ?

tout simple :

Super, vraiment super. Mais j'ai préféré l'histoire avec les Zorlims.

Sinon c'est vraiment très bien

J'aime ton travail mon petit pfsm999!

Mais... Beware of the Katana!

Et voici la suite

L’histoire de Keops
Partie 2

L’heure de revenir dans sa belle ville natale était venue pour Keops. Ce n’étaient plus l’adolescent charmeur qui rentrait, mais un véritable voleur assoiffé de pouvoir et surtout de vengeance. « Oublions d’abord le pouvoir pour la vengeance » dictait l’esprit de Keops. Il fallait venger père ! Et par tous les moyens. Keops avait donc trouver sa nouvelle proie, c’était le comte ! Il prit donc la route pour retrouver sa ville natale, inchangée depuis plus de 15 ans !
Il y eut un grand sentiment de nostalgie pour Keops, il revit ses rues, ses endroits : Là, où il a eu sa première cuite, la première fois où il a fait l’amour. Les bars, les places et l’église … rien n’avait changé, ce ne fut pourtant pas bénéfique du tout pour Keops ! Il se dirigea vers la rue commerciale, et il croisa un viel ami : Le seul nain dans cette vielle ville.
La boutique, elle, avait changé, elle n’était pas propre, remplie de toile d’araignée, de poussières et d’autres saletés
-(Nain) Que puis-je faire pour vous ? Monseigneur ?
-(Keops) Tu ne m’as jamais appeler « Monseigneur » …
-(Nain) Nous nous connaisons ?
-(Keops) Mais enfin … c’est moi, Keops
-(Nain) Abasourdi C’est …. C’est vraiment toi ? Keops ?
Et à la surprise de Keops, Il le prit dans ces bras …
-(Nain) Tu sais que toute la ville te croit loin. Alors comme cela, il paraît que tu es devenu voleur ?
-(Keops) Désolé mais je devais partir d’ici pour …. Réfléchir mais comment se passent les affaires ? (Voulant changer de sujet)
Le nain prit une mine grave, il semblait perdu, voir même désespéré
-(Nain) Je ne fais plus d’affaire mon ptit, depuis que tu es parti !
Le nain raconta qu’après la mort du père de Keops, certains avaient commencé à critiquer le comte, voir même à l’insulter en public d’assassins, de fripouille et de bourgeois mal léché
Le comte ne joua pas longtemps le jeu et décida de mettre certaines boutiques en quarantaines (En gros il déconseilla toute la grande bourgeoisie de venir dans les boutiques où on le critiquait !)
-(Nain) Et comme, maintenant le comte contrôle plus de la moitié des magasins dans cette ville … nous les artisans indépendants, nous ne pouvons pas faire face à la crise !
-(Keops)Ne t’inquiètes pas, je suis sur que cela va s’arranger !
Il se dirigea vers la porte mais le nain l’interpella
-(Nain) Tu es venu pour lui, pas vrai ?
Un silence pesant s’installa mais le nain rajouta
-(Nain) Ne fais pas trop de bêtise, fils ! Dit le nain en souriant à Keops
Keops sortit de la boutique. La nuit tombait et il devait se trouver une auberge pour dormir. Heureusement pour lui, il connaissait impeccablement la ville ainsi que les bonnes adresses pour être "tranquille". Mais avant d’aller à l’auberge, il retourna vers le lieu du drame, de son drame. A la place de la boutique, se trouvait une vulgaire boucherie qui n’était dirigé que par une vielle sorcière ! La rue était déserte, alors qu’à l’époque de l’« Armurie Keopsi & co ! », la rue était toujours pleine, même en pleine nuit. Rien n’indiquait qu’il y avait eu un feu ici. Ou plutôt si, il y avait, à la droite de la boucherie, un petit écriteau, couleur or, qui disait :
« Ici sont morts les parents Keops, célèbre forgerons de cette ville durant plus de 56 ans »
Cela était signé « les forgerons et marchants indépendants de cette ville ».
« Merci » pensa Keops ! Mais il décida de rajouter une petite phrase : Il prit un petit crayon et ecrivit en dessous :
« Ici est aussi décédé, l’esprit de Keops, l’adolescent »
Et il partit à l’auberge.
La nuit ne fut pas longue pour Keops, il n’avait cessé de réfléchir à sa vengeance !
Il prit au petit matin, ces renseignements : des informateurs lui apprirent que le comte comptait faire un bal de « bourgeois ». Il désirait donc inviter tout les nobles, et riches bourgeois dans sa demeure : Au centre du village !
Pour rentrer, soit il devrait s'infiltrer, soit il devrait avoir un passe. Quoi de plus simple pour un voleur de voler un passe à un riche bourgeois des environs et même d’aller trouver des jolis vêtements pour cette soirée ! Et d’après les informateurs, le comte gardait son argent dans un coffre car il ne faisait pas confiance aux banquiers qu’il qualifiait de Pique-sous.
La soirée était dans deux jours, il avait donc à la préparer !

A SUIVRE...(merci Karista pour ta rapidité !)

Très joli!

splendide

super j'ai beaucoup aimé le rapport sur les Zorlims ! Dudjuuu ! Sacrilège !

Merci mes amis !
Et bien je vous annonce que la suite je la ferai fin aout et j'ai déja pas mal de projet pour la suite !! :
Ralckor m'a donné une idée !!
Voila alors un peu de patience pour la suite !!