[HRP]Attention, ceci n'est pas un RPQ, mais bel et bien un RP, malgré mon entrée en matière. Je laisse la description de l'ambiance générale à mes joueurs (ainsi que les piliers de comptoirs...)[/HRP]
C'était une petite fée, gentille, mignonne, avec ses p'tites ailettes paillettes et ses p'tites bouclettes... Sa robe verte-scintillante d'une couleur de feuille de figuier, ses lèvres glossifiées, son sourcil émail-diamant, ses... N'en jetez plus !! On a compris c'était une petite fée toute mimi. Malgré ceci, elle voulu connaître le monde extérieur, elle quitta donc sa bienveillante forêt féérique aux puissantes barrières magique et se retrouva dans le monde réel ! Sa charmante voix fluette, sa petite taille et son décolleté l'amenèrent à se trouver des compagnons de route.
Sa naïveté ainsi que ses charmes l'amenèrent rapidement à être... déshabillée. Se rendant compte que quelque chose n'allait pas, elle s'enfuit. C'est ainsi que, surprise par un orage, elle se réfugia dans une cabane pour se protéger, sans savoir où elle s'engouffrait... Dés son entrée, elle sût qu'elle était de trop.
Dans ce réduit qui sentait le moisi et une odeur pour elle encore non identifiable, elle s'aperçut qu'elle dérangeait un frater en pleine méditation. Du moins c'est ce qu'il lui dit. Eh oui, elle était tombé chez un prêtre de Raïa qui voulait méditer sur les plaisirs, solitaire, en bon cénobite. Il l'invita donc à l'aider dans ses réflexions intenses. Elle sut donc d'où provenait l'odeur. Ayant abusée de la patience de l'homme, elle posait beaucoup de question malgré les « On ne parle pas la bouche pleine, 69ème commandement !! » resucées par le frère. Il la mit dehors, dans son plus simple appareil, bien moins pure qu'au premier jour.
Toujours aussi naïve mais bien plus ouverte. Elle gambada donc joyeusement, ouvrant son cœur au plus charmant, trouvant des habits au passage. C'est dans cet état d'esprit toujours aussi joyeux qu'elle rentra par l'entrebâillement de la porte d'une taverne des bas-quartiers de Port Ébène. S'asseyant sur le bar à la manière recommandée par son premier ami, elle commanda d'une voix susurrante mais qui atteignait sa cible :
« Un verre d'eau avec du miel s'il vous plaît, pour ma gorge... »