[RP] Les forêts d'Esvaraz

Dylfos venait de s'éveiller aux premières lueurs de l'aube. Il étira ses bras et s'enfouit de nouveau sous sa couette. Malheureusement, l'elfe ne réussit pas à retrouver le sommeil et il dut se lever. Comme tous les matins, il enfila de beaux vêtements qu'il avait acheté avec son salaire de Sorcier de Bataille. D'un pas vif, il monta sur le pont...

Il était visiblement un des premiers et seuls les matelots, le capitaine et quelques "matinaux" étaient sur pied. L'elfe vacilla à cause d'une vague un peu trop forte avant de bailler. Dylfos chercha machinalement si une de ses connaissances ne se trouvait pas ici, mais il n'avait pas vraiment envie de chercher de si bon matin...

"Hé bien, capitaine, puis-je vous aider pour payer une nouvelle partie du voyage ?
-Merci, messire sorcier. Mes marins sont sur le pied d'oeuvre comme vous le voyez."

L'elfe s'éloigna et commença à scruter la mer. Un ennui mortel l'envahissait de jour en jour...

Le Chroniqueur avait encore passé une mauvaise nuit. En effet, il avait écrit jusqu'à un heure tardive, une histoire s'imposant à lui, comme trop souvent ces derniers temps. Les Passeurs était une "fiction" qui lui prenait de plus en plus de temps. Il avait ensuite essayé de dormir, mais en soixante quatorze jours, il n'avait toujours pas réussi à s'habituer aux mouvements maritimes. L'estomac dérangé, il avait somnolé pendant tout le reste de la nuit cherchant en vain un refuge dans un sommeil réparateur. Lorsque le soleil apparut à travers les planches du pont, qui formaient le plafond de sa chambre ou plutôt cellule comme il aimait l’appeler, il renonça à sa lutte pour rejoindre le monde des Nuits et se leva. Ses traits tirés, ses cheveux défaits et son teint pâle firent rire les quelques marins qui le croisèrent. N’étant pas suffisamment en forme pour répondre à leurs sarcasmes, il continua son chemin vers le pont pour respirer un peu d’air frais.

Arrivé à l’extérieur, il se mit face au vent afin que celui-ci le coiffe un peu mieux (ce qui était déjà beaucoup), puis il scruta les alentours. Toujours aucune trace de terres, encore moins d’Esvaraz. *Si ce capitaine a menti, il verra qui est le Chroniqueur ! Personne ne montera plus jamais à son bord* Selon le capitaine, il ne resterait que quelques jours avant leur arrivée. L’œil du barde fut alors attiré par une tache de couleur : le sorcier. *Encore debout celui-là, remarque, les elfes ne dorment que peu, ça se comprend donc bien. Peut-être me fournira-t-il un sujet de divertissement, au moins j’aurai de la compagnie.*

- Salut à toi
Bel elfe droit.
Comment vas-tu ?
Terre vois-tu ?
La mer aura-t-elle une fin
Ou me suis-je levé pour rien ?
Accepterais tu ma compagnie
Ou ton cœur est-il trop endurci ?

Dylfos scrutait la mer un air absent depuis plusieurs minutes. Il se sentait pourtant frais et dispos, mais une contrariété inexpliquée le tenaillait depuis plusieurs minutes. Une légère pluie se mettait à tomber, et déjà quelques gouttes se déposaient sur l'elfe. Ce dernier, malgré son passif "d'amoureux de la nature", claqua sa langue contre ses dents. Il s'aperçut alors qu'un humain... comment s'appelait-t'il déjà ? ah oui, le Chroniqueur s'approchait de lui.

Quand le conteur commença à lui parler en vers, Dylfos eut un sourire intérieur d'amusement. Puis il poussa un nouveau soupir à en fendre l'âme avant de déclarer :

"Je ne vois pas encore Esvaraz... mais le capitaine m'a l'air d'être expérimenté, je lui fais confiance. Au fait, je suppose que vous vous êtes déjà posé la question, mais que ferez-vous une fois à Port-Nouveau ? Bon, nous sommes tous partis pour fuir la "Lumière", mais il va bien falloir nous établir, gagner de l'argent... Quand à moi, je pense fonder une guilde de mages et d'alchimistes."

L'elfe, se mit lentement en mouvement pour se mettre à l'abri, en effet la pluie s'intensifiait et bientôt ce seraient des trombes d'eau qui chuteraient, détrampant complètement le pont... Le Mage de Guerre, une fois arrivé devant la porte qui menait aux chambres, invita le Chroniqueur à s'abriter lui aussi...

Courir..... Courir... Ne jamais s´arrêter... Il sentait cette menace toujours présente... Jamais il ne pourrais les semer à temps... Accélerer... Mais son corps ne lui répond plus.. Soudain il chute... Les Géants de lumières le rattrape... Leurs rayons l´éblouissent... Il ne pourra pas supporter cette luminosité plus longtemps... C´en est trop... Cette clartée lui donne la nausé... Il va vomir... Le monde tangue autour de lui... Il... Il... Il entend une voix... Peut-être Loth... Qui lui dit... "Vous..." "Vous allez..." Vous...


-"Vous allez bien monsieur ?"


Il se réveilla soudain de ce qui au départ devait être cinq heures de méditation...


*Encore un de ces maudits rèves*

- "Monsieur ?"

*Érange, se dit-il, Je sens toujours ce tanguage...*

- "Ehoh !"

*Mais ? je ne suis pas seul !*


Il pouvait distinguer une silouhette à travers ses paupières... Elle produisait apparement des sons... Immédiatement, il sortit sa dague, et se mit en position de défense ...


[hrp]
Libre à vous d´incarner ce personnage... Je pourrais modifier son apparition si ce n´est pas cohérent....
[/hrp]

Le nain, aprés avoir réveillé cet individu se retrouva avec une lame pointée vers lui. * Si j'avais su je serais resté tranquillemnt dans mon coin a nettoyer mon arquebuse...* Il tenta de raisonné l'individu qui se senti menacé aprés s'être réveillé.

"Allons monsieur calmez vous ! Posez donc cette lame vous allez finir par blesser quelqu'un !"

Celui qui se tenait en face de lui rangeat sa dague et se détendit quelque peu tout en restant nauséeux. Le calme étant revenu, le nain alla s'asseoir sur sa couche et continua d'inspecter minutieusement son arquebuse naine. Il jeta un oeil vers l'inconnu.

"Si nous devons continuer ce long voyage vers Esvaraz autant se connaitre n'est ce pas ?"

Il posa alors sont arquebuse contre le mur et s'avanca vers celui qui se tenait en face de lui.

"Je me nomme Ragnus Grisebarbe, mais vous pouvez m'appeller Ragnus. Puis je savoir qui vous etes ?"

Une fois que sa vision fut nette, Yéisélian put constater qu´il se trouvait toujours dans ce bateau... Mais en face de lui se tenait une créature bien étrange qui lui rappela certains livres à propos de mineurs et de la fuite des capitaux... Cela devait être un "nain"... Oui... C´est cela... Un nain...
Après avoir rapidement recouvert son visage, Reflet d´ombre pris un livre en majorité vierge´, intitulé " Les Nains ", et commenca à le décrire physiquement, lorsqu´il se rendit compte que cette créture tentait de communiquer.....

-"...ez m´appeler Ragnus. Puis je savoir qui vous êtes ?"

Il identifia ces sons comme de l´impériale.

*Les Nains sont apparement assez intelligents pour pouvoir communiquer en Impériale et manier des outils basiques comme un marteau, une arbalète ou un chiffon...*

D´après ce qu´il comprenait, ce nain s´appelait Ragnus...

* Les Nains possèdent, commes les autres espèces humanoïdes, un nom pour se reconnaitre *

Tout en écrivant, il se rendit compte que ce nain lui avait posé une question...
*Prudence, on ne sait jamais, peut-être est-ce un espion au service de la Lumière... Mieux vaux donné un faux nom... *

Il répondit donc assez lentement, car il ne savait combien de mots connaissait cette espèce, de manière à être compris :

-"Je me nomme Ésolan, et je suis un... humain. Et... Dites-moi... Tout ceux de votre espèce porte-ils des poils longs à la base de leurs menton, comme vous, ou est-ce une maladie génitale ? Vous me comprenez au moins ?"

Il avait essayé d´adopter un ton courtoie et polie, ne pas paraître antipatique, de manière à ne pas l´effrayer...

*Hmm... Il à l´air de comprendre, mais on dirait qu´il y a quelquechose... j´espère ne pas avoir dit de chose qu´il puisse juger offensante...*

Ragnus fut offessé par les paroles de cet humain se prénommant Esolan mais en meme temps il se dit qu'il n'avait jamais vu de nain. Il fallait répondre avec prudence et sans s'emporter.

"Ces "poils" comme vous dites sons des poils de barbe ! N'avez vous jamais donc vu un nain arborant un longue barbe comme moi ? Et pour vous répondre, tous les nains portent de la barbe plus ou moins longue et plus ou moins bien entretenue."

C'est alors que le doute lui vint a l'esprit. Et si c'était un envoyé de la Lumière venu s'approprier Esvaraz au nom du Culte ? Il ne réfléchit pas bien longtemps car la porte de la chambre s'ouvrit, laissant entrer deux autres individus.

La créature, semblant se retenir de quelques violentes paroles, répondit :

-"Ces "poils" comme vous dites sont des poils de barbe ! N'avez vous jamais donc vu un nain arborant un longue barbe comme moi ? Et pour vous répondre, tous les nains portent la barbe plus ou moins longue et plus ou moins bien entretenue."


*Hmm... Étrange... Cette "barbe" étrangement longue semble être un sujet sensible... Cela pourrait peut- être servir par la suite... *

Reflet d´ombre entreprit alors de noter ces informations, et, alors qu´il s´appretait à poser une autre question, la porte de la chambre s'ouvrit pour laisser apparaître deux personnages.....

Vash faisait quelques exercices tranquillement dans sa chambre. Un peut trop inactif à son goût, ce voyage en bateau. Mais nécessaire...
Après une série de divers étirements, il saisit son bâton, mais jugeant le peu d'espace que lui fournissait la petite cabine, mieux valait sortir si il voulait agiter un peu des bras. Ce qu'il fit.
il emprunta l'escalier menant sur le pont, et respira l'air du grand large avec de profondes inspirations.

"Ah!! Un bon air vivifiant!"

D'un pas sûr, il se dirige vers la proue, avise un espace assez grand et sans trop de passage, avant d'exécuter quelques mouvements avec son grand bâton d'acier. Estimant certainement que sa technique n'a pas été rouillée par le voyage, il s'arrête rapidement pour aller contempler l'étendue d'eau qui s'offre aux yeux de tous, se perdant dans les horizons lointains du monde.

Le Chroniqueur suivit tranquillement le Mage de Guerre. Comme il était plaisant de voir quelqu'un de poli en ce monde brutal. Le Mage ayant ouvert la porte menant à l'intérieur, ils se retrouvèrent dans une salle où se trouvaient déjà un nain et un humain en train de converser. *Tiens, tiens, cet humain ne semble pas capable de se souvenir que la barbe d'un nain est un sujet de fierté chez ce peuple fier ? Sans doute un simple d'esprit auquel j'aurai tôt fait d'extorquer quelques pièces. Bon à savoir.*
Le Chroniqueur se retourna vers Dylfos et lui dit :
- Au fait, je suppose que l'on m'a présenté à vous comme étant le Chroniqueur. Ceci est en effet mon nom de scène, ainsi que le nom sous lequel je me dissimule contre le Culte. Malgré tout, pour la conversation courante, je préfère que l'on m'appelle Nox. C'est plus rapide et plus simple. Libre à vous d'utiliser celui de votre choix. Monsieur,... ? D'ailleurs, compagnons de voyage, il me serait plaisant de mieux vous connaître tous.

Le premier de ces personnages était un humain de tout ce qu’il y avait de normal... quoiqu’un peu extravertie... A son air sur de lui et à ses vêtements, Reflet d’ombre pouvait déjà dire que c’était un barde, ou en tout cas qu’il essayait d’être un barde...

*Inintéressant... Mais j’ais l’impression qu’il me regarde ... Il a l’air de se penser supérieur à tout le monde... L’imbécile... Je pourrais aisément le manipuler et même lui extorquer quelques pièces si le besoin j’en avais...*

Le second, lui, était un elfe assez élégant, portant curieusement les cheveux courts... mais... Il se sentait pourtant un point commun avec lui... C’est alors qu’une lueur s’alluma dans les yeux de Yéisélian...

*C’est sans doute un métis... Mais oui... Il a l’air d’être un elfe mais du sang sombre doit couler en ses veines... Excellent... Je n’en avais jamais rencontré auparavant... J’aurais beaucoup à en apprendre sur lui ...*

Il remarquat alors son auras, qu' il était apparement le seul a pouvoir percevoir...

*Il semble en plus pratiquant des arcanes... Décidément j’y gagnerais à converser avec lui... Nous pourrions peut-être même échanger quelques sorts... Oui... Cela doit être possible...*

Il sortit son livre intitulé Les Métis, et s’apprêta a engagé la conversation avec celui-ci, lorsque l’Humain le devança :

- Au fait, je suppose que l'on m'a présenté à vous comme étant le Chroniqueur. Ceci est en effet mon nom de scène, ainsi que le nom sous lequel je me dissimule contre le Culte. Malgré tout, pour la conversation courante, je préfère que l'on m'appelle Nox. C'est plus rapide et plus simple. Libre à vous d'utiliser celui de votre choix. Monsieur,... ? D'ailleurs, compagnons de voyage, il me serait plaisant de mieux vous connaître tous

*Bon... C'est bien un barde... Pas très prudent... Au moins il n'approuve pas la Lumière... Je l'épargnerais peut-être lors de mon futur règne... Hmm... Ces deux personnages semblent se connaître...*

Varesh était à l'arrière du bateau, chaque jour c'était la même chose, il se réveillait et il allait à l'arrière du bateau, comme s'il contemplait son ancienne vie.
*De toute façon ma nouvelle vie ne va pas trop changée de l'ancienne.*
Depuis le début du voyage Varesh évité soigneusement tout contact avec d'autres personnes. Il les avait cependant bien étudié, pour la plupart.
*Je me demande quand est ce qu'on arrive... Je ne peux même pas tuer ici... Pourtant, il y a de bon combattant, du moins je pense...*
Tout d'un coup la pluie vint interrompre le cours de ses pensées et il alla se réfugier dans les cabines. Il y avait déjà du monde a cet endroit. Varesh alla donc silencieusement se placer dans un coin.

Il était assez tôt le matin. Un grand homme sortit alors sur le pont alors que la brume matinale était encore présente. Il leva son regard autour de lui. Des mouettes, du brouillard, une grande voile, de la brume... Celà faisait maintenant un petit moment que le bateau avait quitté la terre ferme, et l'Etranger commencait à en avoir assez... Il s'avança vers un bord du bateau et s'accouda contre une rambarde en bois. Il resta dans cette position un long moment.
Au bout d'un moment, un elfe débarqua sur le pont. Lui aussi scruta l'océan et semblait un brin fatigué de la longueur du voyage. Puis, la pluie s'abattit sur le bateau tel un oiseau sur proie. Ne tenant pas à être malade, le chasseur de primes alla se réfugier dans la cabine du capitaine, d'où ce dernier pilotait le navire. L'Etranger aimait bien cet endroit, où le capitaine lui parlait de ses aventures, et parfois en rajoutant une certaine dose qui était percevable et qui offrait un sourire au visage de notre aventurier.
Maintenant qu'il y pensait, il n'avait pas tellement fait connaissance avec le reste du groupe... Il souhaitait ne pas y rencontrer une de ces cibles... Il se rendit sur le pont, après la pluie, et remarqua qu'un homme était sur le pont en train de s'entraîner avec un bâton.

*Rudimentaire... Mais sa technique est bonne. Il arrive à faire de ce bâton une bonne arme d'attaque... Et aussi de défense.*

Lorsqu'il eut fini, l'Etranger se dirigea vers l'homme, qui était en train de scruter la mer, pensant...

"Long voyage n'est-ce pas? Et pénible, surtout par la mer... J'examinais votre technique à l'instant, et je dois dire que j'apprécie la manière dont vous transformez ce bâton rudimentaire en arme complète... Au fait, on me nomme l'Etranger, et vous?"

Lorsque l'elfe noir déboula dans une pièce qu'il devait pensé vide, Yéisélian, par réflexe, enclencha sa cape planaire, mais s'empressa de suite d'arrêter l'enchantement...

*Je l'ais échappé belle...*

Il put voir le drow se déplacer avec un certain style, puis s’asseoir en silence dans un coin sombre.

*Tient... un confrère... Enfin... plus ou moins... A la manière dont il s’est déplacé... c’est soit une voleur... soit un assassin...*

Mais le silence mortel qui avait accompagné cette sombre créature, ainsi que son regard cruel fit penché Reflet d’Ombre pour la première hypothèse...

*Un drow assassin... Et pas l’un des moindre... Mais peu original... Je n’ais rien à apprendre de lui de toute façon... Il a dû étudier les autres occupants de ce bateau... sauf moi !*

A bien y réfléchir, Yéisélian s’aperçue qu’étant resté à la cale depuis le début du voyage pour écrire son encyclopédie, il avait certes bien avancé, mais n’avait rencontré personne...

*Très mauvais... et peu prudent... Il était temps que je remonte... Je ne sais même pas si nous somme proche du terme de ce voyage... A voir le regroupement ici même... je pense que oui...*

Puis il regarda l’assassin...

*Il me faudra m’en méfier ou j’aurais tôt fait de me retrouver avec une dague plantée dans le dos... Comment cela se fait qu’il ais été accepté à bord. Je dois être le seul qu’il n’a pas étudié... et c’est mieux comme ça... S’il m’agresse il aura une surprise, car je connais sa façon de faire...*

Ensuite, il demanda :

-Sommes- nous tous présent, ou d’autre compagnons doivent- ils encore nous rejoindrent en ce moment ?

"Oh, vous savez, la mer, c'est comme une gigantesque forêt liquide, quelque part. Mon nom est Vash, rôdeur de mon état.
Il est vrai cependant que le voyage commence à se faire long. Mais l'arrivée est proche."

Il se retourna et s'accouda à la rembarde.

"L'Etranger, hein...Et puis après tout, pourquoi pas... on a tous nos raisons d'être partis..."

Sautant de joie, Le Chroniqueur sort sa lyre et se retourne vers ses compagnons.

- Pour fêter cela, musique maestro ! Et pour ceux qui n'aiment pas la musique, je propose de me faire pardonner pour ce que je vais jouer en offrant une tournée dès que nous arriverons !

Il se lança alors dans un chant au rythme effréné et aux paroles pleines d'espoir pour la découverte d'une terre nouvelle.

Alors que Dylfos répondait a Yéisélian, un bruit assourdissant couvra sa voix. Finalement tout le monde alla voir d'où provenait ce bruit et la raison pour laquel il avait été fait...
Alors que les voyageures arrivaient, ils purent voir le capitaine souriant leur désigner le large...

*eh bien... il était temps que je sorte de mon coin...* pensa Reflet d'Ombre.

Comme les autres il vit cette bande de terre, et sortit sa longue-vue pour détallié son futur objet d'étude, et peut-être son prochain royaume...
Tout d'un coup, le ménestrel se mit à jouer...

*Pfff... pathétique... Il s'y croit vraiment... même s'il sait plutôt bien jouer... Et puis avec quoi ferat- il sa "tourné"... avec la bière du bateau?*

Criant pour se faire entendre, il dit ensuite :

- Comment allons-nous nous organiser pour décourvir ce nouveau roy... monde ?

*J'éspère ne pas avoir à m'encombrer de certains balots... ou dangers*

Dylfos fut un des premiers à se lever quand le carillon les appela sur le pont. Quand le capitaine pointa l'horizon, l'elfe mit sa main en visière et et scruta la mer le plus loin possible. Et en effet, les côtes d'une nouvelle terre s'étendait à l'infini. Le métis poussa un soupir de soulagement mais ne partit pas dans le grands débordements d'enthousiame, contrairement à certains. Le mage de guerre, se sentant de bonne humeur, s'assit sur le pont et commença à écouter Nox jouer...

*Il a un talent certain...*

Puis Dylfos sortit son épée et commença à jouer avec machinalement, en la tournoyant en l'air le vite possible... Puis il rengaina son arme, pris d'un accès de nostalgie.

Varesh sortit dans les derniers sur le pont, il en avait marre des allé- retour.
Varesh vit la bande de terre au loin.
*Bon, enfin! je vais pourvoir marcher autre par que sur ce pont. Et puis je vais pouvoir tuer! Comment je vais faire pour trouver mes prochaines victimes ?*
Il entendit tout d'un coup par dessus le brouhaha une demande de comment exploré ce monde.
*Voila, je l'ai mon moyen. Je vais les suivre, ils ont l'air assez fort en plus, je pourrais essayé d me battre avec l'un d'entre eux a la sortie du bateau.*
"Si jamais vous avez besoin de coéquipiers pour votre 'exploration', je me porte volontaire."
Il regarda la personne ayant posé la question un grand sourire au lèvres.

A travers ce vacarme, seul une personne l'avait apparement entendue [hrp] Quand la fiction rejoint la réalité... [/hrp] , et pas la meilleur...

*Quel hypocrite... Des fois je ferais mieux de me taire quand même... Me voila affublé du seul dont je pouvais vraiment craindre des problèmes... Quoique le chasseur de prime pouvait peut-être le rechercher, mais bon...

Puis Yéisélian vit le regard de l'assassin...

*Il a une idée derière la tête, c'est sûr... Ah qu'est-ce qu'il m'a prit de dire cela publiquement, j'aurais dû demander au mage, à lui au moins, je peut lui faire plus ou moins confiance... Enfin... J'en sais beaucoup plus sur ce drow qu'il n'en sait sur moi... Je pense que je gagnerais sans trop de problème s'il m'attaque... car je sais déjà comment il va procéder... Enfin... je suis peut-être parano... on verra bien...*

A la vue de ce continent perdu, Ragnus ne pu s'empécher de penser au hypothétiques richesses que pourraient receler le sous sol de Esvaraz. C'est alors qu'il annonca clairement ses objectifs.

"Si quelqu'un est intéressé par l'exploration de ce continent et la découverte de richesse, qu'il me le dise et il sera le bienvenu. J'ai bien l'intention de voir quelles ressources sont caché dans ses entrailles rocailleuse."

Bien que la musique du ménéstrel commencait a l'agacer, il se surpris a danser. Tout ce qu'il lui manquait maintenant c'est une bière et un compagnon de voyage.

Le Chroniqueur comprit que la plupart de ses compagnons n'aimaient pas la musique. *Bande d'incultes. Seul le mage semble comprendre que si le bonheur est sur cette terre, il faut en profiter à chaque instant. Quel que soit son choix (même si il suit les rabat-joies) je le suivrai, il fera sans doute un compagnon agréable. De plus son aisance avec les armes pourra m'être utile. Il sera la Main qui frappe, je serai le Gant de la diplomatie, un groupe qui se completerait à merveille.*

Hélas pour les ennemis des Muses, le Chroniqueur continua ses chants *pour ceux qui aiment* tandis que les côtes se rapprochaient. Se retournant vers le Mage de Guerre, il entonna :

- Très cher Dylfos, par delà tous les horizons,
Je tiens à toujours être votre compagnon.
Que vos routes mènent à une certaine mort,
Ou bien vers la gloire, richesses et trésors.
Accepterez vous mon étrange compagnie,
Au travers des chemins surprenants de la vie ?

A supprimer..... pour cause de virus (chez moi... vous inquitétez pas )